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- | ===== du support numérique à la raison computationnelle prolégomènes | + | ===== Numérique |
L’ingénierie des connaissances comme projet implique une recherche croisant une réflexion sur la connaissance et une étude des artefacts permettant de l’inscrire et de la manipuler. | L’ingénierie des connaissances comme projet implique une recherche croisant une réflexion sur la connaissance et une étude des artefacts permettant de l’inscrire et de la manipuler. | ||
- | Nous proposons une théorie de la connaissance, | + | Nous proposons une théorie de la connaissance, |
Puisque les supports d’inscription, | Puisque les supports d’inscription, | ||
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Selon notre hypothèse, le type matériel du support d' | Selon notre hypothèse, le type matériel du support d' | ||
- | La raison computationnelle repose sur ce que le calcul apporte aux inscriptions et aux connaissances associées. De même que la raison graphique a permis l’émergence de structures conceptuelles et cognitives particulières comme la liste, le tableau, la formule ainsi que le schéma, on peut postuler que la raison computationnelle repose sur les structures de programme, réseau, couche et maquette numérique. | + | La raison computationnelle repose sur ce que le calcul apporte aux inscriptions et aux connaissances associées. De même que la raison graphique a permis l’émergence de structures conceptuelles et cognitives particulières comme la liste, le tableau, la formule ainsi que le schéma, on peut postuler que la raison computationnelle repose sur les structures de programme, réseau, couche et maquette numérique. Nous élaborons ces aspects dans l' |
Mais la raison computationnelle reste une notion abstraite alors que notre expérience du calcul s’effectue à travers une ingénierie des systèmes informatiques qui implémentent ces calculs et des interfaces à travers lesquelles nous donnons un sens à ces calculs et aux entités manipulées. C’est pourquoi nous complétons la raison computationnelle par une phénoménologie du numérique qui porte sur l’expérience que nous avons du calcul. Cette phénoménologie nous intéresse particulièrement par les conséquences qu’entrainent deux aspects majeurs de la révolution numériques : | Mais la raison computationnelle reste une notion abstraite alors que notre expérience du calcul s’effectue à travers une ingénierie des systèmes informatiques qui implémentent ces calculs et des interfaces à travers lesquelles nous donnons un sens à ces calculs et aux entités manipulées. C’est pourquoi nous complétons la raison computationnelle par une phénoménologie du numérique qui porte sur l’expérience que nous avons du calcul. Cette phénoménologie nous intéresse particulièrement par les conséquences qu’entrainent deux aspects majeurs de la révolution numériques : |