Donnons un sens à l'innovation

HDR

Habil­i­ta­tion à diriger des recherches.

Philippe XU

Le mer­cre­di 18 jan­vi­er 2023 à 9h, à l’université de tech­nolo­gie de Com­piègne (Cen­tre d’innovation).

Mem­bres du jury :

Mem­bres du jury :

  • M. Philippe Bon­ni­fait, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Com­piègne, lab­o­ra­toire Heudi­asyc, examinateur
  • M. Roland Cha­puis, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité Cler­mont-Auvergne, insti­tut Pas­cal, rapporteur
  • Mme Véronique Cher­faoui, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Com­piègne, lab­o­ra­toire Heudi­asyc, examinatrice
  • M. Luc Jaulin, pro­fesseur des uni­ver­sités, ENSTA Bre­tagne, Lab-STICC, Brest, rapporteur
  • Mme Sylvie Le Hegarat-Mas­cle, pro­fesseur des uni­ver­sités, ENS Paris-Saclay, SATIE, rapporteur
  • M. Miguel Ángel Sote­lo Vázquez, pro­fesseur, uni­ver­si­ty of Alcala, examinateur
  • M. Christoph Stiller, pro­fesseur, Karl­sruher Insti­tut für Tech­nolo­gie, exam­i­na­teur

    Invité : M Javier Ibanez-Guz­man, Renault

Résumé :

Le développe­ment de véhicules autonomes a fait l’ob­jet de nom­breux travaux de recherche au cours des dernières décen­nies. À tra­vers des démon­stra­tions et évène­ments nota­bles comme le DARPA Grand Chal­lenge, qui s’est tenu au début des années 2000, l’exposition au grand pub­lic n’a cessé de croître. Mal­gré des pro­grès sci­en­tifiques remar­quables, des avancées tech­nolo­gies et des investisse­ments con­séquents de grands indus­triels, vingt ans plus tard, de nom­breux ver­rous exis­tent tou­jours et ren­dent le déploiement des véhicules autonomes encore bien incer­tain.
L’un des nom­breux enjeux mis en exer­gue par les véhicules autonomes con­cerne la sécu­rité routière. Com­paré à un con­duc­teur humain, qui peut être dis­trait, fatigué ou ne pas respecter le code de la route, volon­taire­ment ou pas, le véhicule autonome est prôné comme une alter­na­tive plus sûre. Bardé de cap­teurs, comme des caméras, des lidars ou autres radars, le véhicule autonome serait plus pré­cis dans sa per­cep­tion de l’environnement et pour­rait avoir un temps de réac­tion plus court qu’un con­duc­teur humain. Bien que les cap­teurs équipant de nom­breux pro­to­types de véhicules autonomes per­me­t­tent en effet une per­cep­tion plus fine de l’environnement de con­duite, notam­ment en ter­mes de champ de vision, à 360 degrés, d’estimation de dis­tance ou encore de vitesse, le traite­ment de ces don­nées pour aboutir à une com­préhen­sion séman­tique de la scène de con­duite reste encore loin des capac­ités cog­ni­tives humaines. Le niveau de com­préhen­sion par un humain d’une sit­u­a­tion de con­duite, en par­ti­c­uli­er à tra­vers des inter­ac­tions, notam­ment sociales, entre les dif­férents usagers de la route, reste encore bien au-delà de ce dont sont capa­bles les intel­li­gences arti­fi­cielles actuelles.
Pour pou­voir pré­ten­dre attein­dre, voire hypothé­tique­ment sur­pass­er, le niveau d’un con­duc­teur atten­tif, le véhicule autonome doit pou­voir met­tre en évi­dence des capac­ités hors de portée d’un humain. Une des pistes les plus promet­teuses con­cerne la capac­ité d’un véhicule autonome à pou­voir échang­er des infor­ma­tions, à tra­vers des com­mu­ni­ca­tions sans fil, avec d’autres usagers de la route ou bien avec une infra­struc­ture coopéra­tive. Par le biais de cette fac­ulté, un véhicule autonome pour­rait percevoir l’environnement bien au-delà de la portée de ses cap­teurs, et égale­ment au-delà de ce que pour­rait voir un con­duc­teur humain. Le véhicule autonome pour­rait alors non seule­ment anticiper plus tôt des sit­u­a­tions dan­gereuses, mais pour­rait aus­si se coor­don­ner en amont avec les autres usagers pour gér­er de manière coopéra­tive des sit­u­a­tions de con­duite com­plex­es.
Le con­texte du Grand Coop­er­a­tive Dri­ving Chal­lenge (GCDC’16), une com­péti­tion européenne à laque­lle le lab­o­ra­toire Heudi­asyc a pris part en mai 2016, a démon­tré l’efficacité d’une coopéra­tion entre véhicules autonomes à tra­vers des scé­nar­ios de con­duite com­plex­es comme la fusion de deux voies de cir­cu­la­tion ou encore le fran­chisse­ment d’une inter­sec­tion. Cette expéri­ence a cepen­dant égale­ment mis en exer­gue de nom­breux ver­rous sci­en­tifiques et tech­nologiques à résoudre avant de pou­voir espér­er un déploiement à plus grande échelle. En par­ti­c­uli­er, la ges­tion des incer­ti­tudes des infor­ma­tions est fon­da­men­tale pour garan­tir la sûreté du sys­tème, et cela devient encore plus cri­tique dès lors que ces infor­ma­tions sont amenées à être com­mu­niquées à d’autres agents. Se pose alors la ques­tion de la quan­tifi­ca­tion de l’intégrité des infor­ma­tions au sein du sys­tème, notam­ment à quel point elles peu­vent être trompeuses et amen­er à une sit­u­a­tion dan­gereuse.
La prob­lé­ma­tique de l’intégrité a été abor­dée sous plusieurs angles pour des tâch­es de local­i­sa­tion, per­cep­tion, fusion d’information ou encore pour la con­struc­tion d’une représen­ta­tion intè­gre de l’environnement routi­er. Cette thé­ma­tique est au coeur du lab­o­ra­toire SIVAL­ab, lab­o­ra­toire com­mun entre Renault et Heudi­asyc (UTC/CNRS), mais égale­ment de plusieurs pro­jets de recherche (ESCAPE, ERASMO, TORNADO).

Hicham Lakhlef

Le ven­dre­di 3 décem­bre 2021 à 10h à l’université de tech­nolo­gie de Com­piègne (amphi du cen­tre d’innovation).

Mem­bres du Jury :

  • M. Abdel­mad­jid Bouab­dal­lah, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Com­piègne,
    lab­o­ra­toire Heudi­asyc, examinateur
  • M. Walid Dab­bous, directeur de recherche, INRIA Nice, Sophia Antipo­lis, rapporteur
  • M. Pas­cal Lorenz, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité de Haute Alsace, Col­mar, rapporteur
  • Mme Nathalie Mit­ton, direc­trice de recherche, INRIA Lille, Villeneuve‑d’Ascq, rapporteur
  • M. Dri­tan Nace, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Com­piègne, lab­o­ra­toire
    Heudi­asyc, examinateur
  • M. Sébastien Tixeuil, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité Pierre et Marie Curie, LIP6, Paris,
    exam­i­na­teur

Reine Talj

Le ven­dre­di 5 avril 2019 à 14 h en amphi L103 (Cen­tre Pierre Guil­lau­mat  – Uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Compiègne)

Mem­bres du Jury :

  • M. Michel Bas­set, pro­fesseur des uni­ver­sités, école nationale supérieure d’ingénieurs Sud Alsace,
    uni­ver­sité de Haute-Alsace, lab­o­ra­toire MIPS, Mulhouse
  • M. Philippe Bon­ni­fait, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Com­piègne,
    lab­o­ra­toire Heudiasyc
  • M. Ali Charara, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Com­piègne, lab­o­ra­toire
    Heudi­asyc
  • M. Luc Dugard, directeur de recherche, uni­ver­sité Josepf Fouri­er, GIP­SA-Lab, Saint-Mar­tin d’Hères
  • Mme Isabelle Fan­toni, direc­trice de recherche, école cen­trale de Nantes, lab­o­ra­toire LS2N, Nantes
  • M. Dominique Meizel, pro­fesseur émérite, uni­ver­sité de Limo­ges, XLim
  • M. Xavier More­au, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité de Bor­deaux, lab­o­ra­toire IMS, Talence

Jérôme De Miras

Le ven­dre­di 8 mars 2019 à 10 h en GI042 (Bâti­ment Blaise Pas­cal – Uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Compiègne)

Mem­bres du Jury :

  • M. Ali Charara, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Com­piègne, lab­o­ra­toire Heudiasyc
  • Mme Véronique Cher­faoui, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Com­piègne, lab­o­ra­toire Heudiasyc
  • M. Luc Dugard, directeur de recherche, lab­o­ra­toire Gip­sa-lab, Saint-Mar­tin d’Hères
  • M. Ahmed El Haj­ja­ji, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité de Picardie Jules Verne, lab­o­ra­toire de mod­éli­sa­tion, infor­ma­tion et sys­tèmes, Amiens
  • Mme Isabelle Fan­toni, direc­trice de recherche, uni­ver­sité de Nantes, lab­o­ra­toire des sci­ences numériques de Nantes
  • M. Dominique Meizel, pro­fesseur émérite, uni­ver­sité de Limo­ges, lab­o­ra­toire Xlim, Limoges
  • M. Pas­cal Morin, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité Pierre et Marie Curie, insti­tut des sys­tèmes intel­li­gents et de robo­t­ique, Paris

Résumé :

De la mod­éli­sa­tion à la com­mande sans mod­èle
Dans le domaine de la com­mande des sys­tèmes dynamiques, on trou­ve le trip­tyque bien con­nu : mod­éli­sa­tion, obser­va­tion, loi de com­mande.
La mod­éli­sa­tion est une étape prélim­i­naire qui per­met de créer une représen­ta­tion des sys­tèmes con­sid­érés, de s’ap­pro­prier leurs pro­priétés et spé­ci­ficités.
Cela passe par une phase de mise en équa­tion – dif­féren­tielles – en util­isant, dans la plu­part des cas, les lois de la physique.
Ces équa­tions sont des objets manip­u­la­bles à par­tir desquels il est pos­si­ble d’analyser et de simuler cette image sim­pli­fiée du sys­tème.
L’ob­ser­va­tion, c’est l’ac­tion de percevoir l’in­for­ma­tion impor­tante pour com­pren­dre l’é­tat dans lequel se trou­ve le sys­tème.
Il y a les obser­va­tions directes, aux­quelles on accède sim­ple­ment par les mesures fournies par des cap­teurs.
Il y a aus­si des élé­ments cachés qu’il faut estimer en se bas­ant sur les mesures et la con­nais­sance à pri­ori que con­stitue le mod­èle.
Ces esti­ma­tions com­plè­tent les obser­va­tions directes.
Mais les cap­teurs sont bruités et les mod­èles impar­faits.
Ain­si il faut inter­venir pour lim­iter l’in­flu­ence de ces incer­ti­tudes et imper­fec­tions.
Les mesures cor­rigées devi­en­nent alors util­is­ables pour avoir une image nette de l’é­tat du sys­tème.
Enfin, il y a l’é­tape de syn­thèse de la loi de com­mande ou l’art de pli­er les équa­tions dif­féren­tielles à sa volon­té. Un sys­tème pos­sède des entrées qui per­me­t­tent la mod­i­fi­ca­tion de son état.
Il faut con­stru­ire ces entrées afin d’amen­er cet état à une valeur désirée à chaque instant.
Bien enten­du, il faut que cette loi tienne compte de la con­nais­sance qu’on pos­sède sur le sys­tème. Et en même temps, il faut aller au-delà car cette con­nais­sance est par­tielle et les mesures cor­rigées.
Il faut donc con­stru­ire une loi robuste aux incer­ti­tudes et sim­pli­fi­ca­tions, voir une loi capa­ble de s’adapter en fonc­tion de l’in­for­ma­tion reçue.
Les travaux présen­tés cor­re­spon­dent à un itinéraire par­ti­c­uli­er au sein de cette trilo­gie.
On y trou­vera la mise en exer­gue de quelques mod­èles de sys­tèmes, comme les drones ou les véhicules, ayant servis de sup­port à la val­i­da­tion des travaux présen­tés.
Dans une deux­ième par­tie, sont présen­tés un ensem­ble de résul­tats obtenus lors d’un pas­sage dans le domaine de l’es­ti­ma­tion d’é­tat en util­isant les tech­niques du cal­cul par inter­valles.
Enfin, une par­tie impor­tante de la présen­ta­tion se focalis­era sur la syn­thèse de com­mande, en par­ti­c­uli­er sur la propo­si­tion orig­i­nale d’une méth­ode basée sur l’u­til­i­sa­tion d’un mod­èle de com­porte­ment numérique tab­ulé.
Ce mod­èle, asso­cié à un ensem­ble d’al­go­rithmes, per­met la réal­i­sa­tion d’une com­mande adap­tée à une classe assez large de sys­tèmes dynamiques non linéaires tout en dimin­u­ant l’ef­fort néces­saire à la mise au point grâce à un nom­bre restreint de paramètre de réglage.
La con­struc­tion de la table qui représente le com­porte­ment du sys­tème peut se faire hors ligne (en sim­u­la­tion) ou en ligne par un mécan­isme d’ap­pren­tis­sage, ce qui con­duit, à terme, à pou­voir se pass­er d’un mod­èle pour la mise en oeu­vre.
La présen­ta­tion se con­clut sur la propo­si­tion de plusieurs évo­lu­tions de la com­mande pro­posée pour en éten­dre la robustesse et la versatilité.

Ben­jamin QUOST

Le mer­cre­di 26 sep­tem­bre 2018 à 14h dans l’am­phi du Cen­tre d’In­no­va­tion à l’UTC

Mem­bres du Jury :

  • Inés Couso, pro­fesseur, uni­ver­sité de Oviedo
  • Cas­sio P. De Cam­pos, maître de con­férences, uni­ver­sité d’Utrecht
  • Thier­ry Denœux, pro­fesseur, uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Com­piègne (exam­i­na­teur)
  • Didi­er Dubois, directeur de recherch­es CNRS, insti­tut de recherche en infor­ma­tique de Toulouse
  • Eyke Hüller­meier, pro­fesseur, uni­ver­sité de Paderborn

Les travaux réal­isés se situent à la croisée de l’ap­pren­tis­sage automa­tique et de la représen­ta­tion des con­nais­sances impar­faites. Ils con­cer­nent plus par­ti­c­ulière­ment la prise en compte de l’im­per­fec­tion en appren­tis­sage automa­tique (et notam­ment en clas­si­fi­ca­tion super­visée et non supervisée).

Nous abor­derons en par­ti­c­uli­er le cas de l’ap­pren­tis­sage d’un mod­èle basé sur une exten­sion de la méth­ode du max­i­mum de vraisem­blance à des don­nées cré­dales, la com­bi­nai­son pru­dente de clas­si­fieurs binaires, et le cal­cul de par­ti­tions cré­dales à par­tir de don­nées précises.

Enri­co NATALIZIO 

Le mer­cre­di 15 novem­bre 2017 à 14h en amphi L103 (Cen­tre Pierre Guillaumat)

Mem­bres du Jury :

  • M. Ian Aky­ildiz, pro­fesseur, Geor­gia insti­tute of tech­nol­o­gy, school of elec­tri­cal and com­put­er engi­neer­ing, Atlanta, USA
  • M. Abdel­mad­jid Bouab­dal­lah, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Com­piègne, lab­o­ra­toire Heudiasyc
  • Mme Ana Cav­al­li, pro­fesseur des uni­ver­sités, insti­tut nation­al des télé­com­mu­ni­ca­tions, départe­ment logi­ciels-réseaux, Évry
  • M. Bertrand Ducourthial, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Com­piègne, lab­o­ra­toire Heudiasyc
  • M. Serge Fdi­da, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité Pierre et Marie Curie, LIP6, Paris
  • Mme Isabelle Guérin-Las­sous, pro­fesseur des uni­ver­sités, ENS Lyon, LIP, Lyon
  • M. Thomas Noël, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité de Stras­bourg, lab­o­ra­toire ICube, Illkirch
  • M. Fab­rice Val­ois, pro­fesseur des uni­ver­sités, INSA de Lyon, Villeurbanne

Sébastien DESTERCKE

Le ven­dre­di 8 sep­tem­bre 2017 à 14h en Amphi Gauss – Cen­tre de recherche, à l’u­ni­ver­sité de tech­nolo­gie de Compiègne

Mem­bres du Jury :

  • M. Thomas Augustin, pro­fesseur, Lud­wig-Max­i­m­il­ians Uni­ver­sität, Munich
  • M. Thier­ry Denoeux, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Com­piègne, lab­o­ra­toire Heudiasyc
  • M. Didi­er Dubois, directeur de recherche, uni­ver­sité Paul Sabati­er, IRIT, Toulouse
  • M. Yves Grand­valet, directeur de recherche, uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Com­piègne, lab­o­ra­toire Heudiasyc
  • M. Patrice Perny, pro­fesseur des uni­ver­sités, uni­ver­sité Pierre et Marie Curie, LIP6
  • M. Hen­ri Prade, directeur de recherche, uni­ver­sité Paul Sabati­er, IRIT, Toulouse
  • M. Mar­co Zaf­falon, pro­fesseur, uni­ver­sité de Suisse ital­i­enne, SUPSI, Man­no, Lugano, Suisse

Dja­mal BOUKERROUI 

Ven­dre­di 23 mai 2014 à 14h00 en L103

Mem­bres du Jury :

  • J‑L. Coa­trieux, Directeur de Recherche Emérite, INSERM, Lab­o­ra­toire LTSI, Rennes
  • J‑P. Coc­querez, Pro­fesseur Emérite, Lab­o­ra­toire Heudi­asyc, UTC
  • C. Fer­nan­dez-Mal­oigne, Pro­fesseur, Uni­ver­sité de Poitiers, Lab­o­ra­toire XLIM-SIC, Futur­o­scope Chasseneuil
  • F. Meri­audeau, Pro­fesseur, Uni­ver­sité de Bour­gogne, IUT Le Creusot, Lab­o­ra­toire Le2i
  • Y. Zhu, Directeur de Recherche, INSA de Lyon, Lab­o­ra­toire CREATIS, Villeurbanne

Pedro CASTILLO 

Mer­cre­di 16 jan­vi­er 2013 à 9h45 en N104

Mem­bres du Jury :

  • R. Chati­la, Directeur de Recherche, Uni­ver­sité Pierre et Marie Curie, ISIR, Paris
  • C. Pégard, Pro­fesseur des Uni­ver­sités, UPJV, Lab­o­ta­toire MIS, Amiens
  • N. Sil­viu-Iulian, Directeur de Recherche, LSS-Sup­elec, Gif Sur Yvette
  • P. Alber­tos, Pro­fesseur, Uni­ver­sité Poly­tech­nique de Valence, Espagne
  • R. Lozano, Directeur de Recherche, UTC, Heudi­asyc, Compiègne
  • P. Rives, Chercheur, INRIA, Sophia-Antipolis

Alessan­dro VICTORINO

Mar­di 20 novem­bre 2012 à 14h30 en L103

Mem­bres du Jury :

  • Saïd MAMMAR,
  • Ahmed El-HAJ­JA­JI
  • Dominique MEIZEL
  • Alain OUSTALOUP
  • Brigitte D’ANDREA-NOVEL
  • Patrick RIVES
  • Ali CHARARA
  • Philippe BONNIFAIT

Résumé : Les nou­veaux sys­tèmes d’aide à la con­duite, embar­qués sur les nou­veaux sys­tèmes de trans­port sûrs et durables, sont basés sur des dis­posi­tifs de sécu­rité active investis de nou­velles fonc­tion­nal­ités, tels que la descrip­tion pré­cise de la dynamique du véhicule, l’in­ter­ac­tion directe avec le sys­tème de nav­i­ga­tion (le con­duc­teur) et la per­cep­tion de l’en­vi­ron­nement où se déplace le véhicule.

Ces dernières années, nous avons dévelop­pé au lab­o­ra­toire Heudi­asyc des méthodolo­gies qui con­tribuent au développe­ment des ces nou­veaux sys­tèmes de sécu­rité, en pro­posant des obser­va­teurs d’é­tat appliqués à l’es­ti­ma­tion de la dynamique de véhicules à par­tir des mesures non coû­teuses. Ces obser­va­teurs, robuste aux imper­fec­tions des mod­èles, ont été à l’o­rig­ine d’un nou­veau sys­tème de diag­nos­tic de con­duite, basé sur l’é­val­u­a­tion anticipée du risque d’ac­ci­dent. Le sys­tème de diag­nos­tic embar­qué délivre au sys­tème de pilotage du véhicule une infor­ma­tion de risque néces­saire à l’adap­ta­tion du mode de conduite.

Ce sys­tème de sécu­rité, en inter­ac­tion avec le con­duc­teur, a été mis en inter­ac­tion avec l’en­vi­ron­nement du véhicule, par l’in­té­gra­tion de la per­cep­tion de la route fournie pars des cap­teurs embarqués.

Domi­tile LOURDEAUX 

Le mar­di 10 juil­let 2012 à 14h00 en L200

Mem­bres du Jury :

  • Monique Grand­bastien, Pro­fesseur Stéphane Donikian, Directeur de Recherche Inria
  • René Man­di­au, Pro­fesseur Van­da Luen­go, Maître de Con­férences HDR
  • Jacques Marc, Directeur de Recherche
  • Indi­ra Thou­venin, Enseignant-chercheur con­tractuel HDR, Heudi­asyc-UTC, Compiègne
  • Jean-Paul Barthès, Pro­fesseur émérite, Heudi­asyc-UTC, Compiègne
  • Dominique Lenne, Pro­fesseur, Heudi­asyc-UTC, Compiègne

Résumé : Les travaux menés dans le domaine de la réal­ité virtuelle per­me­t­tent aujour­d’hui d’en­vis­ager son util­i­sa­tion de manière effi­cace pour la for­ma­tion. Toute­fois, les approches exis­tantes ne per­me­t­tent de gér­er que des envi­ron­nements peu inter­ac­t­ifs, pro­posant des sit­u­a­tions d’ap­pren­tis­sage peu com­plex­es ou encore inté­grant insuff­isam­ment d’aspects col­lec­tifs et de per­son­nages virtuels. Or, nous souhaitons pro­pos­er des envi­ron­nements virtuels dans lesquels les util­isa­teurs peu­vent réelle­ment voir l’im­pact de leurs déci­sions sur des sys­tèmes com­plex­es inté­grant à la fois des com­posantes tech­niques, organ­i­sa­tion­nelles et humaines qu’elles soient indi­vidu­elles ou collectives.

Les méth­odes de scé­nar­i­sa­tion actuelles con­sis­tent à déter­min­er à l’a­vance toutes les sit­u­a­tions envis­agées mais cette approche néces­site un énorme tra­vail d’im­plé­men­ta­tion et lim­ite l’évo­lu­tiv­ité des envi­ron­nements. Con­traire­ment à ces approches déter­min­istes, nous souhaitons créer des scé­nar­ios mod­i­fi­ables dynamique­ment et per­me­t­tre ain­si l’émer­gence de sit­u­a­tions d’ap­pren­tis­sage var­iées et per­son­nal­isées mais ren­dant compte de sit­u­a­tions écologiques observées sur le ter­rain. Cette approche per­met de favoris­er des appren­tis­sages situés et d’aug­menter la moti­va­tion et l’im­pli­ca­tion de l’ap­prenant. Il faut pou­voir à la fois s’as­sur­er que les sit­u­a­tions pro­posées soient per­ti­nentes tant sur le plan péd­a­gogique que sur le plan nar­ratif, et con­trôler l’oc­cur­rence de ces sit­u­a­tions dans l’en­vi­ron­nement. Ce con­trôle est sou­vent fait au détri­ment de la cohérence du sys­tème tech­nique ou des com­porte­ments des per­son­nages virtuels.

Dans ce con­texte, nous pro­posons de cen­tr­er nos travaux sur la com­posante  » fac­teur humain  » afin de pren­dre en compte l’ac­tiv­ité de l’ap­prenant et que des per­son­nages virtuels ren­dent compte de la vari­abil­ité des com­porte­ments humains dans des sit­u­a­tions com­plex­es. Notre pro­jet de recherche vise donc à mod­élis­er l’ac­tiv­ité humaine et sociale et à pro­pos­er une scé­nar­i­sa­tion adap­ta­tive, c’est-à-dire à ori­en­ter dynamique­ment le scé­nario et le com­porte­ment de per­son­nages virtuels autonomes dans un envi­ron­nement virtuel vers des sit­u­a­tions d’ap­pren­tis­sage per­son­nal­isées et per­ti­nentes sans nuire à la cohérence et sans con­train­dre l’émer­gence de sit­u­a­tions. L’o­rig­i­nal­ité de nos travaux con­siste à cou­pler des envi­ron­nements virtuels avec des tech­niques d’in­tel­li­gence arti­fi­cielle et à opéra­tionnalis­er des mod­èles issus de travaux en psy­cholo­gie cognitive.

Notre con­tri­bu­tion s’ar­tic­ule autour de la plate­forme HUMANS. Elle com­prend un out­il auteur HUMANS-DL qui per­met à dif­férents experts de saisir des mod­èles (d’ac­tiv­ité, de risques, du monde, etc.). Une idée forte que nous défendons avec ces mod­èles est de per­me­t­tre aux moteurs déci­sion­nels de s’ap­puy­er sur des mod­èles ren­dant compte de sit­u­a­tions écologiques observées sur le ter­rain par des experts et de faire émerg­er des sit­u­a­tions d’ap­pren­tis­sage per­ti­nentes. Ces mod­èles sont directe­ment inter­préta­bles par les moteurs déci­sion­nels de la plateforme :

  • REPLICANTS pour la mod­éli­sa­tion de per­son­nages virtuels autonomes dotés de car­ac­téris­tiques cog­ni­tives (e.g. émo­tions, per­son­nal­ité, etc.) ;
  • SELDON pour déter­min­er les sit­u­a­tions péd­a­gogiques et nar­ra­tives per­ti­nentes au regard du pro­fil de l’ap­prenant et d’ob­jec­tifs de for­ma­tion et pour con­trôler dynamique­ment le sce­nario d’un envi­ron­nement virtuel com­plexe et cohérent ;
  • MONITOR pour le suivi de l’ap­prenant (e.g ; traces, critères de per­for­mance), etc.

La plate­forme HUMANS a été mise en œuvre pour dévelop­per dif­férents types d’ap­pli­ca­tion de for­ma­tion : à la direc­tion d’équipe, aux métiers de l’aéro­nau­tique, à la maîtrise des risques sur sites à haut risque, des équipes de sec­ours suite à des attaques ter­ror­istes, à la garde d’en­fants, etc.

Le tra­vail présen­té dans cette HDR est le fruit d’un tra­vail pas­sion­nant menés avec les dif­férents parte­naires de ces pro­jets, mes col­lègues, les ergonomes et en par­ti­c­uli­er Jean-Marie Burkhardt, mes doc­tor­ants, post­doc­tor­ants et étu­di­ants : Wajih Bous­li­mi, Lydie Edward, Kahi­na Amokrane, Mar­gaux Lhom­met, Camille Barot, Kevin Car­pen­tier, Vin­cent Lan­quepin, Julien Saunier, Haz­a­ël Jones, etc.

Yacine CHALLAL 

Le mer­cre­di 27 juin 2012 à 14h00 en L103

Mem­bres du Jury :

  • Abdel­mad­jid Bouab­dal­lah, Pro­fesseur, Heudi­asyc-UTC, Compiègne
  • Jacques Car­li­er, Pro­fesseur, Heudi­asyc-UTC, Compiègne
  • Bernard Cousin, Pro­fesseur, Uni­ver­sité Rennes 1, IRISA
  • Walid Dab­bous, Chercheur Senior INRIA, Sophia Antipolis
  • Mary­line Lau­rent, Pro­fesseur, Tele­com & Man­age­ment Sud­Paris, Evry
  • Jean-Frédéric Myoupo, Pro­fesseur, Uni­ver­sité Jules Verne, Amiens

Résumé : La pro­liféra­tion des réseaux ad hoc mobiles, pair-à-pair et de cap­teurs a encour­agé le développe­ment des con­cepts d’une infor­ma­tique autonome avec poten­tielle­ment un large éven­tail d’ap­pli­ca­tions. Or, la vul­néra­bil­ité inhérente de ces réseaux autonomes intro­duit de nou­veaux chal­lenges de sécu­rité, telles que des attaques internes menées par des entités malveil­lantes. Plusieurs de ces attaques sont dif­fi­ciles à détecter et à con­trari­er en rai­son de leur com­porte­ment sim­i­laire au com­porte­ment de proces­sus légitimes des sys­tèmes en inter­ac­tion. Par ailleurs, la lim­i­ta­tion des ressources de cer­tains réseaux autonomes (réseaux de cap­teurs sans fil, réseaux mobiles ad hoc) con­stitue un autre grand chal­lenge pour leur robustesse qui englobe à la fois la tolérance aux défail­lances et la sécurité.

Dans ce con­texte, nos travaux se sont artic­ulés autour de deux axes de recherche qui se situent à deux lim­ites de la con­nais­sance con­tem­po­raine sur la sécu­rité des sys­tèmes : la sécu­rité des sys­tèmes com­plex­es en inter­ac­tion via la coopéra­tion et la sécu­rité des sys­tèmes à fortes con­traintes de ressources. Nous nous sommes fixés comme objec­tif le développe­ment de solu­tions algo­rith­miques aptes à sat­is­faire les besoins des util­isa­teurs en ter­mes de per­for­mance et de robustesse tout en leur per­me­t­tant de faire abstrac­tion de la com­plex­ité sous-jacente. Nous avons démon­tré à tra­vers nos travaux que l’in­ter­ac­tion robuste et sécurisée entre ces sys­tèmes atyp­iques est pos­si­ble. Elle est pos­si­ble grâce à une nou­velle appréhen­sion de la sécu­rité basée sur la col­lab­o­ra­tion de proces­sus de con­fi­ance, et la préven­tion à base de mécan­ismes proac­t­ifs de tolérance aux dysfonctionnements.

Vin­cent FREMONT 

Le lun­di 18 juin 2012 à 10h00 en L103

Mem­bres du Jury :

  • Didi­er AUBERT, Directeur de Recherche, IFSTTAR, Paris
  • Philippe BONNIFAIT, Pro­fesseur, Heudi­asyc-UTC, Compiègne
  • Jean-Pierre COCQUEREZ, Pro­fesseur, Heudi­asyc-UTC, Compiègne
  • Simon LACROIX, Directeur de Recherche, CNRS-LAAS, Toulouse
  • Philippe MARTINET, Pro­fesseur, IRC­CYN-Ecole Cen­trale de Nantes
  • Mustapha EL MOUADDIB, Pro­fesseur, MIS-Uni­ver­sité de Picardie Jules Verne, Amiens

Résumé : Depuis plusieurs années, et face au prob­lème de san­té publique mon­di­ale que con­stituent les acci­dents de la route, les con­struc­teurs auto­mo­biles, en parte­nar­i­at avec les uni­ver­si­taires, étu­di­ent des sys­tèmes avancés de sécu­rité pour la con­duite auto­mo­bile per­me­t­tant ain­si de réduire le nom­bres d’ac­ci­dents. D’un point de vue académique, ces travaux de recherch­es se regroupent sous la thé­ma­tique du véhicule intel­li­gent et se décom­posent en dif­férents groupes liés au degré d’au­tonomie du véhicule et à l’é­tat prospec­tif des travaux.

La per­cep­tion de l’é­tat de l’en­vi­ron­nement proche du véhicule est un des aspects cri­tiques liés aux appli­ca­tions du véhicule intel­li­gent. D’un point de vue cap­teurs pour la per­cep­tion robo­t­ique, les caméras occu­pent une place de choix. En effet, com­parées à d’autres cap­teurs tels que le GPS, les cen­trales iner­tielles ou les cap­teurs de dis­tance (radar, laser, ultra­sons), les caméras offrent la plus grande quan­tité d’in­for­ma­tion et, de part leur poly­va­lence, per­me­t­tent d’obtenir aus­si bien des infor­ma­tions con­textuelles de haut niveau sur la scène observée, que des infor­ma­tions de pro­fondeur, et ce à haut débit et à bas coût. Ce sont, de plus, des cap­teurs pas­sifs qui con­som­ment peu d’én­ergie et qui sont facile­ment minia­tur­isés. Néan­moins, leur util­i­sa­tion n’est pas si sim­ple et pose un cer­tain nom­bre de prob­lèmes théoriques liés à la façon dont ce cap­teur perçoit son environnement.

Dans ce con­texte, cette habil­i­ta­tion a pour but de présen­ter les dif­férentes con­tri­bu­tions liées à l’é­tude et à l’u­til­i­sa­tion des sys­tèmes mul­ti-caméras pour la per­cep­tion 3D embar­quée et l’analyse de scènes dynamiques dans le con­texte des véhicules intel­li­gents. Les points forts des approches dévelop­pées por­tent sur l’ex­ploita­tion des points d’in­térêt, l’u­til­i­sa­tion con­jointe des con­traintes géométriques mul­ti-vues et du mou­ve­ment appar­ent pour l’analyse de scènes dynamiques, la détec­tion et le suivi d’ob­jets 3D par fusion d’in­for­ma­tions mul­ti­modales référencées vision et l’é­talon­nage géométrique caméra/lidar. De plus, ces dif­férents travaux de recherche ont abouti à des sys­tèmes embar­qués temps-réel fonc­tion­nels sur les véhicules expéri­men­taux du lab­o­ra­toire Heudiasyc.

Fahed ABDALLAH 

Le mer­cre­di 1er décem­bre à 10h30 en L103

Mem­bres du Jury :

  • Luc Jaulin, Pro­fesseur, ENSIETA, Brest
  • Michèle Rom­baut, Pro­fesseur, Uni­ver­sité Joseph Fouri­er, Grenoble
  • Jean-Yves Tourneret, Pro­fesseur, Uni­ver­sité de Toulouse
  • Thier­ry Denoeux, Pro­fesseur, Uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Compiègne
  • Bernard Dubuis­son, Pro­fesseur émérite, Uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Compiègne
  • Cédric Richard, Pro­fesseur, Sophia-Antipo­lis, IUF, Nice
  • Hichem Snous­si, Pro­fesseur, Uni­ver­sité de tech­nolo­gie de Troyes

Antoine JOUGLET 

Le jeu­di 4 févri­er à 10h en L103

Mem­bres du Jury :

  • Philippe Bap­tiste, Directeur de Recherche au CNRS, Ecole Poly­tech­nique, Palaiseau
  • Jean-Charles Bil­laut (rap­por­teur), Pro­fesseur à l’U­ni­ver­sité François Rabelais, Tours
  • Jacques Car­li­er, Pro­fesseur à l’U­ni­ver­sité de Tech­nolo­gie de Compiègne
  • Philippe Chré­ti­enne (rap­por­teur), Pro­fesseur à l’U­ni­ver­sité Pierre et Marie Curie, Paris 6
  • Gerd Finke (rap­por­teur), Pro­fesseur à l’U­ni­ver­sité Joseph Fouri­er, Grenoble
  • Aziz Moukrim, Pro­fesseur à l’U­ni­ver­sité de Tech­nolo­gie de Compiègne

Résumé : La plu­part des prob­lèmes d’op­ti­mi­sa­tion com­bi­na­toire appar­ti­en­nent à la classe des prob­lèmes NP durs. La réso­lu­tion exacte d’une instance d’un de ces prob­lèmes néces­site de trou­ver des moyens effi­caces pour réduire son espace de recherche.

Dans ce cadre, l’u­til­i­sa­tion des règles de dom­i­nance est évi­dente puisque leur rai­son d’être est de réduire sta­tique­ment ou dynamique­ment cet espace de recherche au cours de la réso­lu­tion du problème.

Après une brève présen­ta­tion formelle des règles de dom­i­nance et de leurs prin­ci­pales util­i­sa­tions, nous décrirons nos pro­pres con­tri­bu­tions dans les domaines de l’or­don­nance­ment et du placement.

Indi­ra THOUVENIN

Hatem BETTAHAR

Marie-Hélène ABEL

Isabelle FANTONI-COICHOT

twitter-squarelinkedin-squarephone-squareenvelopeyoutube-square